Voilà exactement trois mois que nous avons entamé notre mobilisation contre l'expulsion et les licenciements. Qu'en est-il aujourd'hui?
Dans le chapitre des bonnes nouvelles, il y a d'abord notre pétition. Grace au soutien des Martiniquais, nous approchons chaque jour de notre objectif de 5000 signatures. A ce jour, nous avons récolté plus de 4500 signatures!
Du côté de la municipalité, nous avons obtenu quelques avancées. A l'issue de notre dernière conférence de presse, la CDMT s'était en effet engagée à solliciter l'intervention du Député Maire de Fort-de-France. L'objectif étant qu'il demande à notre propriétaire de retirer sa plainte ou tout au moins de nous accorder un délai, afin de préserver nos emplois.
Propriétaire aux abonnés absents
Mais pas plus que les journalistes, les politiques n'arrivent à lui mettre la main dessus! Car si l'adjoint au Maire qui a accepté de nous recevoir propose de trouver un nouveau local, en revanche il n'a toujours pas réussi à contacter notre propriétaire.
Or si l'expulsion est maintenue, et même si un nouveau local est trouvé, le montant des sommes engagées (frais de justice, perte du droit au bail, frais de réinstallation d'un nouveau magasin) sera très lourd pour l'entreprise. Dans l'état actuel des choses, et à défaut d'une annulation de l'expulsion, la société n'a donc pas d'autre choix que d'entamer la mise en liquidation de Beauty Folies et de procéder aux irrémédiables licenciements.
Cette solution ne nous satisfait toujours pas. Alors, chers lecteurs, continuons à exprimer aux autorités notre refus, en ces temps de crise, d'un tel gâchis. Aidez-nous en signant et en diffusant notre pétition en ligne.
Dans le chapitre des bonnes nouvelles, il y a d'abord notre pétition. Grace au soutien des Martiniquais, nous approchons chaque jour de notre objectif de 5000 signatures. A ce jour, nous avons récolté plus de 4500 signatures!
Du côté de la municipalité, nous avons obtenu quelques avancées. A l'issue de notre dernière conférence de presse, la CDMT s'était en effet engagée à solliciter l'intervention du Député Maire de Fort-de-France. L'objectif étant qu'il demande à notre propriétaire de retirer sa plainte ou tout au moins de nous accorder un délai, afin de préserver nos emplois.
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Mais pas plus que les journalistes, les politiques n'arrivent à lui mettre la main dessus! Car si l'adjoint au Maire qui a accepté de nous recevoir propose de trouver un nouveau local, en revanche il n'a toujours pas réussi à contacter notre propriétaire.
Or si l'expulsion est maintenue, et même si un nouveau local est trouvé, le montant des sommes engagées (frais de justice, perte du droit au bail, frais de réinstallation d'un nouveau magasin) sera très lourd pour l'entreprise. Dans l'état actuel des choses, et à défaut d'une annulation de l'expulsion, la société n'a donc pas d'autre choix que d'entamer la mise en liquidation de Beauty Folies et de procéder aux irrémédiables licenciements.
Cette solution ne nous satisfait toujours pas. Alors, chers lecteurs, continuons à exprimer aux autorités notre refus, en ces temps de crise, d'un tel gâchis. Aidez-nous en signant et en diffusant notre pétition en ligne.
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