Bienvenue sur notre blog!

Connaissez-vous l'expression: "A quelque chose malheur est bon?"

Ce blog est né dans un contexte difficile, suite à une décision judiciaire d'expulsion injuste - voulue par notre bailleur- et la menace de licenciements massifs.
Face à cette situation, nous, patron et salariés de Beauty Folies- avons décidé de nous mobiliser et de solliciter votre soutien afin de sauver notre activité et nos emplois. C'est ainsi que nous avons eu l'idée de créer ce blog!
Dans le contexte actuel des "Etats Généraux de l'Outre-Mer", notre cas met en évidence les aberrations d'un système judiciaire et capitalistique qui n'hésite pas à détruire l'emploi pour servir le profit. Il met aussi en lumière la précarité de l'emploi tertiaire martiniquais, en particulier à Fort-de-France.
Plus qu'un simple outil, nous espérons que ce blog deviendra une véritable plateforme d'expression pour tous ceux qui veulent voir changer le centre-ville foyalais. N'hésitez pas à le faire connaître!


La Team Beauty Folies

Vous pouvez soutenir notre lutte en signant notre pétition >>> http://jesigne.fr/jesoutienslessalariesdebeautyfolies

jeudi 11 juin 2009

Beauty Folies interpelle le Maire de FDF et le Procureur de la République

3ème jour de mobilisation: visite des médias et toujours plus de pétitions signées!

Aujourd'hui, deux radios ont répondu à nos communiqués. RCI et "Assez Pléré An nou Lité" ont été les premières à se déplacer pour couvrir notre lutte. Elles ont pu constater les nombreuses signatures déjà recueillies pour soutenir notre cause. Nous avons également reçu la visite d'un journaliste de RFO qui a promis de revenir demain.

N'ayant toujours pas de réponse de la partie adverse (notre propriétaire), nous avons décidé de lancer un appel à Messieurs Serge Letchimy, Député-Maire de Fort-de-France, et Claude Bellanger, Procureur de la République en Martinique. En tant que responsable politique et représentant de la Justice française, leur devoir n'est-il pas de défendre l'emploi et de veiller à l'équité sociale?


An pliss, travay ta-la cé ta nou... an nou pa ka ladjey'!

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